Le séchage des fruits _ article de la
Nouvelle République du 17 octobre 2014 Projet d'atelier de séchage de fruits
Quelques clayettes de fruits séchés par la SPB dans son meuble
séchoir en bois. La Société pomologique du Berry (SPB) envisage la création d'un atelier de séchage de fruits, en coordination avec l'Association pour le développement agricole et rural en (Adar-Civam) et l'Union pour les ressources génétiques du Centre (URGC). C'est dans le cadre du projet Idées en campagne, avec le soutien de la Région pour le financement de l'étude préliminaire, que cet atelier pourra voir le jour. Cécile Peltier, ingénieur en agriculture et stagiaire à l'Adar, réalise cette étude de faisabilité sur un cahier des charges exhaustif (température, conditionnements, coût, matériel…), avec l'accompagnement d'Éloïse Moisan, de l'URGC. Depuis plus de cinq ans, la SPB propose, lors de ses manifestations, des dégustations de fruits séchés par séchoirs ménagers et un meuble de séchage à l'ancienne qui ne peuvent satisfaire la demande grandissante. Aujourd'hui forte de huit cents adhérents, la SPB a pressé 150.000 litres de jus de pomme qui pourront être dégustés lors des Journées de la pomme, les 25 et 26 octobre. Une animation gastronomique et une présentation du projet par Cécile Peltier auront également lieu. Un « test organoleptique » permettra de mettre ou non en exergue l'intérêt de cet atelier. La stagiaire travaille en lien avec une nutritionniste du Comité départemental d'éducation pour la santé (Codes) et aucun point de l'étude ne sera laissé au hasard, avant la création de l'atelier. Celui-ci nécessitera l'acquisition d'un séchoir performant et d'un espace adapté (la grange pressentie est à aménager pour devenir l'atelier de séchage). La SPB planche sur chaque point pour faire sécher tous les fruits, de ses vergers comme ceux de ses adhérents. |
article de la Nouvelle République du 19
novembrebre 2014 Sécher les fruits pour valoriser la récolte
Cécile Peltier sera dans le Berry jusqu'en janvier pour mettre en place son projet. La Société pomologique envisage ce mode de valorisation au profit de ses adhérents. Cécile Peltier l’aide à mettre en place un atelier à Neuvy. Cécile Peltier, 21 ans, est arrivée de Clamart (Hauts-de-Seine) en septembre pour effectuer un stage au sein de l'Association pour le développement agricole et rural (Adar).
La jeune femme a suivi, pendant deux ans, les cours
de l'Institut universitaire et technologique d'Amiens, option
génie-biologie, avant d'intégrer l'École supérieure d'ingénierie, de
technologie et de professions agricoles de Rouen. |